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(Saint Etienne, 1978 – Crosne, 1974)
Nu féminin debout, vers 1902-1905
Huile sur carton
99,7 x 67,5 cm
Exposition
– Le Début du Siècle aux Indépendants 1902-1905, Grand Palais, 1967.
– Cesare Lampronti, Heroines and Muses. Women in European Painting (1600-1900), galerie Michel Descours, en collaboration avec Cesare Lampronti, London Art Week, 27 juin – 5 juillet, n° 36, p. 53-54, repr., et 63 (P. Ruellan).

« Il n’est même pas certain qu’elle évolue jamais d’une manière frappante. “Progrès, procédé, école…”, ces mots n’ont pas de place ici, sous le nom d’une artiste qui naquit si bien armée contre eux1. » En effet, comme le relève très justement l’écrivain Colette, Émilie Charmy n’a eu de cesse, durant toute sa carrière, entamée dans les dernières années du XIXe siècle, de fuir les conventions, les normes, les situations établies ou confortables. Issue d’une famille stéphanoise qu’elle perdit enfant, Charmy emménage à Lyon en 1898 avec son frère et rencontre le peintre de fleurs Jacques Martin (1860-1937) qui deviendra pour elle une sorte de père spirituel. Elle refuse une formation académique ou institutionnelle et préfère les cours privés de Jacques Martin sur lesquels elle s’appuie pour développer un style personnel dans le sillage du postimpressionnisme.
Elle présente pour la première fois huit peintures au Salon des artistes indépendants de 1903 et décide de s’installer près de Paris. Deux ans plus tard, Émilie Charmy est remarquée au Salon des Indépendants (1905) par la jeune galeriste Berthe Weill qui « sent une personnalité », qui apprécie le fait qu’elle « ne fait partie d’aucune chapelle » et qu’elle ait fermement choisi de « ne [pas] se plier à une formule toute faite et plaisante […] et de ne pas s’écarter de la ligne de conduite qu’elle s’est tracée […] pour imposer sa personnalité2 ». Soudées par des liens d’amitié intenses, les deux femmes poursuivront leur collaboration entamée durant cette année historique pour la peinture fauve jusqu’à la mort de la galeriste en 1951 (ill. 1). En effet, Charmy présente deux natures mortes au Salon d’automne de 1905, devenu célèbre pour avoir accueilli les oeuvres de Camoin, de Manguin, de Marquet, de Matisse, de Derain ou de Vlaminck dans une salle baptisée la « cage aux fauves » par le critique Louis Vauxcelles. C’est dans cette effervescence qu’Émilie Charmy commence à côtoyer les Fauves, en particulier Charles Camoin avec lequel elle fera plusieurs voyages en Corse et à Toulon, et qu’elle assigne à la couleur un nouveau rôle. Plongée dans ce contexte, nourrie par les discussions avec les Fauves, sa palette ne débordera néanmoins jamais vers une explosion de couleurs vives, mais se caractérise par des nuances subtiles de bleus et de verts méditerranéens, puis des ocres, des orangés ou des bruns.
Dans le catalogue de l’exposition monographique Émilie Charmy, 1878-1974 que le musée Paul Dini de Villefranche-sur-Saône a édité en 2008, l’historienne de l’art Corinne Charles propose une approche originale et stimulante de l’œuvre en la rapprochant des premiers mouvements d’avant-garde allemands (Die Brücke et Die Blaue Reiter) et en situant Charmy par rapport à l’expressionnisme naissant. Corinne Charles relève très justement la difficulté de définir plastiquement la production des artistes expressionnistes, dont le point de rencontre se situe davantage dans l’attitude adoptée face à la création que sur le plan strictement esthétique. Leur volonté d’exprimer une réaction individuelle et spontanée face au monde ne pouvait qu’intéresser l’artiste dont on a déjà mis en avant l’indépendance, l’anticonformisme et le caractère rebelle.
Dans l’entre-deux-guerres, Émilie Charmy devient célèbre et mène une vie mondaine. Elle évolue dans un certain confort, apprécie les décors luxuriants et se rapproche d’individus fortunés ou de pouvoir. Dans son appartement de la rue de Bourgogne, à deux pas du musée Rodin, dont elle appréciait tout particulièrement le jardin, elle tenait une sorte de salon qui réunissait des personnalités telles qu’Édouard Herriot. Sa réussite sociale est si importante qu’elle a tendance à freiner sa carrière artistique. Après s’être réfugiée, avec son compagnon Georges Bouche, dans leur maison à Marnat (Auvergne) pendant la Seconde Guerre mondiale, Charmy rentre à Paris en 1945. Elle rencontre des difficultés à réintégrer le milieu artistique parisien et les galeries ne s’intéressent plus beaucoup à sa peinture.
La volonté d’Émilie Charmy d’évoluer hors des canons classiques s’exprime particulièrement dans ses nus. Dans notre nu debout, la cambrure de la taille et la courbe des fesses sont délibérément accentuées, contrastant avec la poitrine menue dissimulée par une posture faussement pudique. L’allongement de l’anatomie évoque le canon en amphore des peintres maniéristes, autant que les exagérations ingresques. En dépit de son caractère expérimental, autrement dit de son approche résolument anti-académique, l’étude ne s’affranchit pas de la nature et respecte la vérité du clair-obscur : le volume du corps est défini par l’éclairage oblique venant de la gauche, qui, frappant le bas du visage, l’épaule, le haut du buste, le bras, le dos et les fesses, révèle les carnations rosées. L’audace du peintre réside dans l’usage de la couleur et dans l’énergie avec laquelle elle est appliquée, le noir des contours, des ombres et de la chevelure contrastant fortement avec le vert-jaune du fond, aplat de couleur exempt de toute indication spatiale. Présenté au Grand Palais en 1967 lors de la rétrospective consacrée au Salon des Indépendants (1902-1905), le Nu féminin debout doit être considéré comme un exemple majeur de la participation de l’artiste à l’avant-garde de son temps. (G.P. et M.K.)
Shorten
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Antoine Chintreuil
(1814 - 1873)
Pierre Révoil
(Lyon 1776 – 1842)
Jacques-Louis David
(Paris, 1748 – Bruxelles, 1825)
Jean-Baptiste REGNAULT, Baron
Paris, 1754 – Id., 1829
Jacques Stella
(Lyon, 1596 – id., 1657)
Louis Adrien Masreliez
(Paris, 1748 – Stockholm, 1810)
Antoine Berjon
(Lyon, 1754 – id., 1838)
Geer van Velde
(Lisse, 1898 – Cachan, 1977)
Jean-Joseph-Xavier Bidauld
(Carpentras, 1758 - Montmorency, 1846)
Philippe-Auguste Hennequin
(Lyon, 1762 – Leuze, près de Tournai, 1833)
Julien Adolphe Duvocelle
(Lille, 1873 – Corbeil-Essonnes, 1961)
François-Joseph Navez
(Charleroi, 1787 – Bruxelles, 1869)
Philippe-Auguste Immenraet
(Anvers, 1627 – id., 1679)
Alexandre-Evariste Fragonnard
(Grasse, 1780 – Paris, 1850)
Jeanne-Elisabeth Chaudet
(Paris, 1767 - id., 1832)
Charles Barthélemy Jean Durupt
(Paris, 1804 - id., 1838)
Alexandre-Evariste Fragonard
(Grasse, 1780 - Paris, 1850)
Jean-Antoine Laurent
(Baccarat, 1736 - Epinal, 1832)
Rafael Tejeo Diaz, dit Tejeo (ou Tegeo)
(Caravaca de la Cruz, Murcie, 1798 - Madrid, 1856)
Eric Forbes-Robertson
(Londres, 1865 – id., 1935)
Victor Orsel
(Oullins, 1795 – Paris, 1850)
François-Xavier Fabre
(Montpellier, 1766 – id., 1837)
Jean Raine
(Bruxelles, 1927 – Rochetaillée-sur-Saône, 1986)
Merry-Joseph Blondel
(Paris, 1781 – id., 1853)
Jean-Jacques Forty
(Marseille, 1743 – Aix-en-Provence, 1801)
François Eisen
(1695, Bruxelles – 1778, Paris)
Clément Jayet
(Langres, 1731 - Lyon, 1804)
Cornelis De Beer
(Utrecht, 1591 - Madrid, 1651)
Adam De Coster
(Malines, c. 1586, Antwerp, 1643)
Giovanni David
(Gabella Ligure, 1749 - Gênes, 1790)
Antoine Dubost
(Lyon, 769 - Paris, 1825)
Joseph Denis Odevaere
(Bruges, 1775 - Bruxelles, 1830)
Henri-Joseph Forestier
(Puerto Hincado, Santo Domingo, 1787 – Paris, 1872)
Luca Giordano
(Naples, 1634 - id., 1705)
Emile Didier
(Lyon, 1890 - id., 1965)
Pierre-Nolasque Bergeret
(Bordeaux, 1782 - Paris, 1863)
André Bouys
(Hyères, 1656 - Paris, 1740)
Jacques-François Delyen
(Gand, 1684 - Paris, 1761)
Jean-Jacques de Boissieu
(Lyon, 1736 - id., 1810)
Jean-Baptiste Carpeaux
(1827 - 1875)
James Ensor
(Ostende, 1860 - id., 1949)
Jean Cocteau
(Maisons-Laffitte, 1889 - Milly-la-Forêt, 1963)
Antoine Demilly
(Mâcon, 1892 – Lyon, 1964)
Charles Dukes
actif à Londres entre 1829 et 1865
Crikor GARABÉTIAN
Bucarest, 1908 – Lyon, 1993
Pierre Tal-Coat [Pierre Jacob]
(Clohars-Carnoët, 1905 – Saint-Pierre-de-Bailleul, 1985)
Pierre Molinier
(Agen, 1900 - Bordeaux, 1976)
Patrice Giorda
né en 1952
Frédéric Benrath
(Lyon, 1930 - Paris, 2007)
Félix Labisse
(Marchiennes (Nord), 1908 - Neuilly-sur-Seine, 1982)
Bengt Lindström
(1925 - 2008)
Bengt Lindström
(1925 - 2008)
Jean-Batpiste Oudry
Paris, 1686 – Beauvais, 1755)
Albert Marquet
(Bordeaux, 1875 - Paris, 1947)
Balthasar K?OSSOWSKI DE ROLA, dit BALTHUS
(Paris, 1908 – Rossinière, 2001)
Gioavni Paolo Panini
(Plaisance, 1691 – Rome, 1765)
Alberto Savinio
(Athènes, 1891 - Rome, 1952)
Oskar Bergman
(Stockholm, 1879 - id., 1963)
Léon Pourtau
(Bordeaux, 1868 - mort en mer, 1898)
Jean-Baptiste Chatigny
(Lyon, 1834 - id., 1886)
Adolphe Appian
(Lyon, 1814 – id., 1898)
Paul Huet
(Paris, 1803 - id., 1869)
Fabius, dit Fabien Van Risamburgh
(Lyon, 1794 – Saint-Gengoux-le-National, Saône-et-Loire, 1866)
Jacques-Augustin Pajou
(Paris, 1766 b- id., 1828)
Louis Lafitte
(Paris, 1770 – id., 1828)
Louis Bélanger
(Paris, 1756 - Stockholm, 1816)
Claude Joseph Vernet
(Avignon, 1714 - Paris, 1799)
Joseph Wright of Derby
(Derby, 1734 – id., 1797)
Claude-Joseph Vernet
(Avignon, 1714 – Paris, 1789)
Philippe-Auguste Hennequin
(Luo, 1762 - Leuze, near Tournai, 1833)
Balthasar Klossowski de Rola, known as Balthus
(Paris, 1908 - Rossinière, 2001)
Jean-Baptiste Oudry
(Paris, 1686 - Beauvais, 1755)
Jean Daret
(Brussels, 1614 - Paris, 1668)
Jean Dubuffet
(Le Havre, 1901 - Paris, 1985)
Fabius, known as Fabien van Risamburgh
(Lyon, 1794 - Saint-Gengoux-le-National, Saône-et-Loire, 1866)
Gustave Moreau
(Paris, 1826 – id., 1898)
Rhin supérieur, entourage de Martin Schongauer ?
Giovanni Battista Castello, dit Il Bergamasco
(Crema, vers 1526 – El Escorial, 1569)
Giuseppe Antonio Pianca
Agnona, 1703 – Milano, 1762)
Pierre TAL-COAT (Pierre JACOB)
(Clohars-Carnoët, 1905 – Saint-Pierre-de-Bailleul, 1985)
Jean Raine
(Bruxelles, 1927 - Rochetaillées-sur-Saône, 1986)
Camille Rogier
(1810-1896)
Paris BORDONE
(Trévise, 1500 - Venise, 1571)
Maître de l'Incrédulitgé de saint Thomas (Jean Ducamps ?)
Actif à Rome de la fin des années 1920 à 1637
Claude Nattiez
(actif à Rome entre 1641 et 1660)
Simon Demasso
(Lyon, 1658 - id., 1738
Charles-François Hutin
(Paris, 1715-Dresde, 1776)
Louis Adrien MASRELIEZ
(Paris, 1748 - Stockholm, 1810)
Pierre Peyron
(Aix-en-Provence, 1744 - Paris, 1814)
Philippe DEREUX
(Lyon, 1918 - Villeurbanne, 2001)
Robert MALAVAL
(Nice, 1937 - Paris, 1980)
Bernard REQUICHOT
(Asnières-sur-Vègre, 1929 - Paris, 1961)
Bernard REQUICHOT
(Asnières-sur-Vègre, Sarthe, 1929 – Paris, 1961)
Oskar Bergman
(Stockholm, 1879 – id., 1963)
Mélanie DELATTRE-VOGT
(Valenciennes, 1984)
Helmer Osslund
(Tuna, 1866 – Stockholm, 1938)
Marcel ROUX
(Bessenay, 1878 – Chartres, 1922)
Jules-Elie DELAUNAY
(Nantes, 1828 – Paris, 1891)
Ernest Antoine Hebert
(Grenoble, 1817 – La Tronche, 1908)
Harald Jerichau
(Copenhague, 1851 – Rome, 1878)
Eugène Roger
(Sens, 1807 – Paris, 1840)
François-Marius Granet
(Aix-en-Provence, 1775 – id., 1849)
Alberto GIRONELLA
(Mexico, 1929 – Valle de Bravo (Mexique), 1999)
Nicolas-Antoine Taunay
(Paris, 1755 – id., 1830)
François-Marius Granet
(Aix-en-Provence, 1775 – id., 1849)
Jean-Joseph-Xavier Bidauld
(Carpentras, 1758 – Montmorency, 1846)
Jacques Stella
(Lyon, 1596 – Paris, 1657)
Paris BORDONE
(Treviso, 1500 – Venice, 1571)
Raoul UBAC
(Malmedy or Cologne, 1910 – Dieudonné, 1985)
Robert Malaval
(Nice, 1937 – Paris, 1980)
Pierre Peyron
(Aix-en-Provence, 1744 – Paris, 1814)
Jules-Elie Delaunay
(Nantes, 1828 – Paris, 1891)
Marcel Roux
(Bessenay, 1878 – Chartres, 1922)
Alberto Gironella
(Mexico, 1929 – Valle de Bravo (Mexico), 1999) 32. El entierro de Zapata y ostros enterramientos [Funeral of Zapata and Other Burials], Elas de Oro II, 1972 A tribute to Zapata Alberto Gironella (1929-1999) had his first exhibition in 1952 in a gallery in
Thomas Blanchet
(Paris, 1614 – Lyon, 1689)
Valentin Lefèvre
(Bruxelles, 1637 – Venise, 1677)
Laurent Pécheux
Lyon, 1729 – Turin, 1821
Jean-Baptiste Deshays
(Rouen, 1729 – Paris, 1765)
Joseph François Ducq
(Ledeghem, 1762 – Bruges, 1829)
Holger Drachmann
(Copenhague, 1846 – Hornbaek, 1908)
Pelle Swedlund
(Gävle, 1865 – id., 1947)
Arthur George Walker
(Londres, 1861 – id., 1939)
Claude-Marie DUBUFE
(Paris, 1790 – Celle-Saint-Cloud, 1864)
Nicolas Bertin
(Paris, 1668 – id., 1736)
Vincent Bioulès
(Montpellier, 1938)
Paul Borel
(Lyon, 1828 – id., 1913)
Giuseppe Cades
(Rome, 1750 – id., 1799)
Andreas Joseph Chandelle
(Francfort, 1743-Id., 1820)
Michel Dorigny
(Saint-Quentin, 1616 – Paris, 1665)
Gustaf Fjaestad
(Stockholm, 1868 – Arvika, 1948)
François Gérard
(Rome, 1770 – Paris, 1837)
Nicolas Henri Jeaurat de Bertry
(Paris, 1728 – id., vers 1796)
Paul Jourdy
(Dijon, 1805 – Paris, 1856)
Jean Raine
(Bruxelles, 1927 – Rochetaillée-sur-Saône, 1986)
Bernard Réquichot
(Asnières-sur-Vègre, Sarthe, 1929 – Paris, 1961)
Henri Michaux
(1899, Namur – 1984, Paris)
Mario Alejandro Yllanes
(Oruro, 1913 – 1946 ?)
Joseph-Benoît Suvée
(Bruges, 1743 – Rome, 1807)
Joseph-Benoît Suvée
(Bruges, 1743 – Rome, 1807)
James Pradier
(Genève, 1790 – Bougival, 1852)
Pierre Révoil
(Lyon, 1776 – Paris, 1842)
Jean-Baptiste Chatigny
(Lyon, 1834 – id., 1886)
Louis Jean-François LAGRENEE, dit l’Aîné
(Paris, 1725 – Paris, 1805)
Michel-François Dandré-Bardon
Aix-en-Provence, 1700 – Paris, 1783
Hans Ditlev Martens
(Kiel, 1795 – Id., 1864)
Pelle Swedlund
(Gävle, 1865 – Id., 1947)
François-Marius Granet
(Aix-en-Provence, 1775 – id., 1849)
Jeanne Bardey
(Lyon, 1872 - id., 1954)
André Utter
(Paris, 1886 - id., 1948)
Élisabeth Sonrel
(Tours, 1874 - Sceaux, 1953)
Bernard Pruvost
(Alger, 1952)
Jacques Stella
(Lyon, 1596 - Paris, 1657)
Louis Cretey
(Lyon, before 1638 - Rome (?), after 1702)
Michel-François Dandré-Bardon
(Aix-en-Provence, 1700 - Paris, 1783)
François-Marius Granet
(Aix-en-Provence, 1775 - Id., 1849)
Hans Ditlev Martens
(Kiel, 1795 - Kiel, 1864)
Pelle Swedlund
(Gävle, 1865 - Id., 1947)
Jeanne Bardey
(Lyon, 1872 - id., 1954)
André Utter
(Paris, 1886 – Id., 1948)
Élisabeth Sonrel
Bernard Pruvost
(Algiers, 1952)
Christoffer Wilhelm Eckersberg
(Sundeved, 1783 - Copenhague, 1853)
Jean-François Forty (actif à Paris, 1775–90)
Thomas Blanchet
(Paris, 1614 - Lyon, 1689)
Claude Nattiez
(actif à Rome entre 1641 et 1660)
Jean Charles Frontier
(Paris, 1701 – Lyon, 1763)
Pierre Nicolas Legrand de Sérant
(Pont-l’Évêque, 1758 – Berne, 1829)
Jean-Baptiste Isabey
(Nancy, 1767 – Paris, 1855)